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Le blog de Liza Lo Bartolo, auteur

24 septembre 2018

Sous les braises, un souffle... nouvelle parution

Sous les braises, un souffle... nouvelle parution
Avec son ancienne couverture : UN SOUFFLE SUR LES BRAISES de Liza Lo Bartolo Bardin Un souffle sur les braises : Roman à clés qui nous ouvre les portes d'une époque : celle de l'après-guerre. Dans un village breton, Maryline a fait les frais de la collaboration...
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22 février 2021

Remerciements sincères à https://fattorius.blogspot.com

 

 

Prophéties en Bretagne et conséquences

Liza Lo Bartolo Bardin - La Bretagne, une terre de légendes... voilà bien un classique! La romancière Liza Lo Bartolo Bardin revisite cette idée avec habileté dans un roman solide intitulé "Eärwenn, les messagers de la lande". Ses ressorts sont l'imaginaire des Templiers et la possibilité d'une appréhension du réel druidique, alternative, ésotérique somme toute, mais ô combien riche.

http://fattorius.blogspot.com

 

https://fattorius.blogspot.com/2021/02/propheties-en-bretagne-et-consequences.html?showComment=1613996345297#c1327434209160314150

 

Pour recevoir ou adresser ce livre, merci de bien vouloir vous adresser directement via ce blog en contactant l'auteur Liza LO BARTOLO.

3 janvier 2019

CHIARA, l'enfant de l'Etna

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 Jean Michel LEBOULANGER a aimé :

"Chiara, l'enfant de l'Etna" de Liza Lo Bartolo

par Jean-Michel Leboulanger, dimanche 10 juillet 2011, 19:19

Vous trouverez très rarement des critiques ou des avis de livres de ma part. Tout d’abord parce que je trouve que c’est un exercice difficile et délicat. Et puis surtout parce que certains et certaines y déploient parfaitement leur talent, bien mieux que moi, et donc je préfère m’abstenir.

Cependant, je souhaite vous parlez d’un roman de Liza Lo Bartolo : « Chiara, l’enfant de l’Etna », paru chez Laura Mare. J’ai tout de suite été saisi par la beauté de l’écriture, les déliés, les phrases qui coulaient, belles et sonores.

Quand les mots sont aussi beaux, il devient alors aisé d’être emporté par l’histoire de cette très jeune Sicilienne, chargée de famille après les décès successifs des deux mères et femmes de leur père. Celui-ci est un homme frustre, un monstre d’égoïsme et de bêtise que seul l’appât du gain intéresse, quitte à laisser ses nombreux enfants dans le plus terrible des dénuements.

Dans sa maturité obligée, Chiara se débrouille du mieux qu’elle peut avec les restrictions que la guerre impose aux populations siciliennes. Les drames intimes s’accumulent, souvent à peine évoqués par la langue tout en finesse de Liza, mais dont on comprend la douleur profonde. Et puis la guerre devient de plus en plus présente avec le débarquement allié en 1943…

Mais ne dévoilons pas cette belle histoire. Lisez le roman de Liza Lo Bartolo Bardin, petit chef d’œuvre tout en finesse, en délicatesse, en émotion, mais où également l’optimisme et la joie de vivre sont toujours présents.

Liza, je suis fier d’être ton ami. Merci pour ce merveilleux moment de lecture.

 

Jean Michel Leboulanger

 

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Liza LO BARTOLO

24 septembre 2018

La critique d'Ambre pour Eärwenn

 

EARWENN, LES MESSAGERS DE LA LANDE ou La simplicité d'une grande écriture

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par Ambre Saint-pierre, mercredi 29 décembre 2010, 16:33

 

 

 

 

J'ai toujours pensé que la grandeur, la valeur d'une chose résidaient dans la simplicité avec laquelle on les exprimait. Eh bien, je ne m'étais pas trompée, et l'ouvrage de Liza LO BARTOLO  en est décidément la preuve.

 

L'écriture est spontanée et concrète, mais la profondeur et le professionnalisme de son auteure sont bien là. Sa sensibilité aussi, présente à chaque page, qu'elle alterne très habilement avec des mots ludiques, insouciants, ponctués par les grands éclats de rire purs et mystérieux de son héroïne.

 

Les prophéties de Jean de Jérusalem, ô combien actuelles !...donnent à cette oeuvre magique une puissance indicible. De très belles descriptions comme la rencontre de Thierry et d'Eärwenn, nous confirment le talent de Liza LO BARTOLO qui fait d'une page que l'on croit anodine, un vrai "moment littéraire". Cette "Manon des Sources" de la lande bretonne, non pas par la similitude de l'intrigue mais par le caractère même du personnage principal, nous emporte très vite dans le pays calme, authentique et sans détour de Liza LO BARTOLO.

 

Je confirme : un roman magnifique, une auteure qui n'a rien à envier aux plus grands.

Ambre SAINT-PIERRE

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24 septembre 2018

Le débarquement sur les côtes siciliennes en 1943

Le 10 juillet 1943... Les forces alliées, U.s.a, Royaume-Uni, Canada, débarquaient sur les côtes siciliennes pour libérer l'île, et plus tard la botte italienne, de l'envahisseur allemand.

D'origine sicilienne, il m'a paru nécessaire de témoigner de cette époque dont les souvenirs commencent à s'émousser avec le temps et le départ de ceux qui ont vécu et connu ces évènements marquants et traumatisants pour les enfants de l'époque (sujet de mon roman).

Je dédie ce troisième roman qui traite de cette époque troublée et violente, plus particulièrement en l'été 1943, à ma famille sicilienne qui a vécu ces évènements. Combinant récits, documents et imagination, j'ai utilisé les souvenirs et les anecdotes entendus depuis mon enfance et créé ainsi une fiction romanesque sur fond d'histoire. Le point de vue des enfants diffère de celui des adultes, et c'est là toute l'originalité de ce roman.

Aventure, émotion, poésie, amour, haine, violence et humour s'entremêlent et font de ce récit, un témoignage vivant et fidèle d'une partie de l'histoire de nos parents.

Chiara, l'enfant de l'Etna

 

 

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6 septembre 2017

Le discours de Marie-Claude Mahiette le 21 septembre 2010

Sorti de mes archives, cet article en hommage à une grande dame, toujours restée dans l'ombre de l'auteur Gonzague St Bris, véritable cheville ouvrière de la Forêt des Livres de Chanceaux Près Loches.

Ce jour-là, le mardi 21 septembre 2010 j'assistais à la décoration de Marie-Claude Mahiette (Directrice de la Forêt des Livres) de l'ordre National du Mérite.

par Mr Hervé Novelli (Ministre du Travail)

 

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Monsieur le Ministre, je suis extrêmement honorée et je ne sais comment vous remercier, de même que je ne sais comment exprimer ma reconnaissance à Gonzague qui est à l’origine de cette distinction. Je dois vous dire que c’était une totale surprise pour moi et je suis restée un moment incrédule lorsque j’ai trouvé votre courrier, resté dans ma boîte aux lettres à Audierne, tandis que j’oeuvrais à Paris auprès de Gonzague SAINT BRIS. Ayant toujours travaillé dans l’ombre, au service de mes patrons et des causes qu’ils défendaient, je me suis dit : « Que se passe-t-il ? Aurais-je fait de la prose sans le savoir ? »

 

 

Alors, quand il vous arrive un tel honneur, on revient en arrière sur sa vie et on en fait défiler toutes les étapes… que je vous épargnerai, rassurez-vous !

 

 

Le travail, je l’ai appris dès l’enfance auprès de mes parents. Chez eux, c’était une ruche. Jacqueline Alexandre ici présente, Monika venue tout spécialement d’Allemagne pour partager ce grand jour avec sa famille d’adoption, mes amis, ma famille pourront vous le dire : ils travaillaient au minimum 12 heures par jour, sans jamais prendre de vacances ni se plaindre, et toujours dans une joie communicative. Aujourd’hui, ma seule tristesse est que mon père ne soit plus à nos côtés. C’était l’exemple même de la droiture et de la générosité, un véritable artiste, musicien accompli qui a sacrifié sa carrière pour sauver les affaires familiales. Nous lui devons tellement et il aurait été si fier de voir, à travers sa fille, toute une lignée de commerçants au service des autres récompensée. Heureusement, ma mère est toujours présente, toujours élégante, toujours aussi active et vaillante, plus moderne que sa fille, s’intéressant à tout à bientôt 87 ans. Sans elle, je n’aurais pas toute cette disponibilité. A elle, à mon père, je dédie cette médaille, ainsi qu’à mon fils, Florent, qui est la lumière de ma vie, mais n’est-ce pas normal pour un photographe ?

 

 

Je pense aussi à ceux qui m’ont formée : l’abbé Joseph Daoust qui a joué un rôle déterminant dans ma formation littéraire. Ce qui m’a tout de suite plu avec Gonzague, c’est que je retrouvais cette atmosphère d’érudition si longtemps partagée avec l’abbé : une maison pleine de livres, des tables jonchées d’écrits et cette entêtante odeur de cigare… Je crois que ce cher « Oncle Joseph » y est pour quelque chose, là-haut, si, grâce à Jean Daprai, un artiste peintre émérite ici présent, j’ai été présentée à Gonzague lors d’une remise de distinction respective pour ces deux maîtres par Monseigneur Poupard, Nonce apostolique de Rome ! Et pour ne rien vous cacher, bien avant de nous présenter l’un à l’autre, Jean avait fait un portrait de chacun de nous, de sorte que j’ai bien peur d’imposer ma présence à Gonzague pour l’éternité si jamais nos portraits se retrouvent côte à côte dans un musée !

 

 

Je pense à Madame Lefèvre, ma première patronne, qui ne peut plus se déplacer mais Monsieur Maurice Houdayer me fait l’honneur de la représenter aujourd’hui, car il sait qu’au cours des 20 ans passés auprès d’elle, j’ai tout appris. A la tête de 300 personnels stables et de 6.000 intérimaires, elle était d’une exigence telle – Monsieur Fremder peut en témoigner – qu’après un passage dans tous les services de ses entreprises, vous en ressortiez blindée et capable de faire face à toutes les difficultés. Elle me disait : « Allez, vas-y cocotte, fais-toi respecter (sous-entendu planche pour approfondir les domaines que tu ne connais pas encore), débrouille-toi comme tu veux, je ne veux pas savoir ce que tu fais, mais il faut que ça marche ! »

 

 

Je pense à Me Théo Klein qui, à mon grande déception, a une obligation incontournable ce soir, devant recevoir l’Ambassadeur d’Allemagne pour honorer un artiste juif. Théo m’impressionnait énormément et je redoutais d’aller travailler dans son Cabinet, un milieu d’avocats que je ne connaissais pas. Il a insisté pendant des mois avant que je n’accepte, mais qui peut résister à Théo Klein avec sa maîtrise de lui, son talent, son charme, son exemplaire sagesse ? Mon travail lui doit aussi beaucoup pour le complément d’expérience que j’ai acquis chez lui, devant remplir un cahier des charges de seize pages, travail passionnant et très formateur. C’est là que j’ai pu parfaire l’organisation d’évènements regroupant un grand nombre de personnalités, comme par exemple le passage à l’an 2000, quand PPDA et Claire Chazal animaient l’émission au 6eétage du Cabinet avenue des Champs Elysées. Le mot d’ordre de Théo : « Vous êtes responsable ! »

 

 

Et maintenant qui vais-je citer, à votre avis, si ce n’est Gonzague avec qui je partage un travail acharné depuis sept ans ? Au début, il n’était pas question de FORET DES LIVRES, j’y venais en visiteuse pour mon plus grand bonheur. Mais voilà qu’un jour les deux Emilie qui s’en occupaient si bien, se décident pour une vie professionnelle à l’année. Gonzague me prend à part et me dit : « Vous allez les remplacer » « Ah non, lui dis-je, je viens de faire construire une maison en Bretagne où je compte bien passer les trois mois d’été » « Faites cela au moins pendant un an, ensuite je trouverai quelqu’un. » Périodiquement, je lui demandais s’il avait trouvé quelqu’un, mais j’avais droit à de vives protestations. Trop tard ! J’étais tombée dans le chaudron de la forêt magique où Gonzague œuvre de façon magistrale, sortant de son bouillon de culture des rencontres exceptionnelles, comme

la vôtre Monsieur

le Ministre, et quelle joie de vous avoir vu en cette XVe édition récompensé par le « Prix Economie Nouvelle » donné à votre livre sur l’auto-entreprise. Il est bon et juste que les bienfaits que vous répandez sur la France soient aussi salués en ce jour.

 

 

Des rencontres dues à Gonzague comme celle de l’Académicien René de Obaldia et celle d’

Emmanuel de La Taille

, si talentueux et qui nous entoure de tant d’affection, comme celle des habitants de Chanceaux : M et Mme Batereau, M et Mme Mame, M Lorailler qui déploient beaucoup d’énergie pour la réussite de la manifestation, comme celle de tous nos collaborateurs et bénévoles qui ont aussi leur part dans l’honneur qui m’est fait aujourd’hui. Et puis, dans ce chalet à Chanceaux, sans aucun doute inspiré par sa précédente propriétaire,

la Comtesse Saint Bris

, poétesse de la Chantereine et du miroir aux fées, il flotte un air de poésie qui nous fait vivre des moments si rares avec des réponses en vers à la lumière des chandelles... Alors, pourquoi hésiter entre l’enchanteur Merlin et l’enchanteur Gonzague ? Comment résister à Gonzague, à son inspiration littéraire qui vous fait frapper des textes à toute heure du jour et de la nuit, à sa créativité dans tous les domaines qu’il vous faut mettre immédiatement en œuvre, à son enthousiasme, sa générosité, sa formidable force vitale, à son grain de fantaisie qui vous embellit la vie ? Mais ne vous y trompez pas, il y a derrière tout cela un esprit concret, une pertinence pour juger les situations et les personnes, une obstination et un courage, un travail inlassable qui sont le secret de sa réussite.

 

Puisque nous célébrons aussi la littérature, je voudrais terminer par quelques vers de Louis Aragon qui ont inspiré le dernier roman de Jean d’Ormesson, le Président de la XVe édition de

LA FORET DES LIVRES

:

 

C'est une chose étrange à la fin que le monde

 

Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit

 

Ces moments de bonheur ces midis d'incendie

 

La nuit immense et noire aux déchirures blondes

 

 
Rien n'est si précieux peut-être qu'on le croit

 

D'autres viennent Ils ont le coeur que j'ai moi-même

 

Ils savent toucher l'herbe et dire je vous aime

 

Et rêver dans le soir où s'éteignent des voix

 

[...]

 

Malgré tout je vous dis que cette vie fut telle

 

Qu'à qui voudra m'entendre à qui je parle ici

 

N'ayant plus sur la lèvre un seul mot que merci

 

Je dirai malgré tout que cette vie fut belle

- Louis Aragon -

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Marie-Claude Mahiette, entre Mr Hervé Novelli et Mr Emmanuel de la Taille.

 

Cu-dessous Marie-Claude Mahiette et l'académicien René de Obaldia. Derrière René de Obaldia, son épouse Diane, grande classe et élégance.

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Et ci-dessous le lien de ma vidéo, prise ce soir-là chez Gonzague Saint Bris.

 


https://www.youtube.com/watch?v=D0DiqUxQMhY

Quel merveilleux souvenir !

Liza LO BARTOLO

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5 mai 2017

Mes nouvelles affiches !

A VOTRE BON CHOIX !

 

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Laquelle est la plus représentative de mon travail ?

la première ? Les gris/bleus (1)

 

20170528 EXPOSITION BEAUMETTES 1

Celle-ci ? Plus colorée et fleurie ? (2)

 

20170528 EXPOSITION BEAUMETTES 2

ou celle-ci ? La nature... (3)

Si je ne peux me décider, je ferai imprimer les trois !

Du 28 mai 2017 au 30 juin 2017...

Tous les après-midi de 14 h à 18 h.

Vernissage le vendredi 2 juin à 18 h.

 

J'en profiterai pour dédicacer mes livres et tenir un atelier de démonstration de peinture aux enfants qui le voudront.

 En attendant merci de visiter mon site-galerie :

https://www.artloverplace.com/artistes/liza-lo-bartolo

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29 septembre 2016

POUR MON RETOUR EN PROVENCE

MORIERES

MORIERES2

Bonjour à tous !

J'ai l'immense plaisir de vous annoncer que mon retour dans le sud se voit couronné par mes premières rencontres littéraires à MORIERES LES AVIGNON...  J'espère en faire d'autres dans tout le Sud. Si ma santé le permet...

 

Rencontres littéraires de Morières

 

Merci de partager...

Liza LO BARTOLO

 

16 janvier 2016

Débat sur l'auto-édition

Trouvé sur le blog de Sophie Lit, cette réponse de l'éditeur Philippe Milbergue.

Je cite les sources de cet article donc, j'espère que l'un (Philippe Milbergue) et l'autre (Sophie Adriansen) ne m'ont iendront pas rigueur.  Je les ai prévenus, seule Sophie pour le moment m'a donné son accord et je l'en remercie.

 

en réponse à Sophie Adriansen:

 

Enfin, le plus souvent. Bien sûr, je l’ai déjà fait. Et plusieurs fois avec bonheur, dans des genres différents. Mais les bons textes auto édités sont des aiguilles dans la botte de foin de la production globale. Et puis mon œil, qui souffre déjà trop des coquilles subsistant dans les textes relus et corrigés (combien […]

 

Bonjour,
J’ai lu avec intérêt votre article et je comprends parfaitement votre point de vue. Vous avez raison d’affirmer vos choix et personne ne peut vous forcer à lire, ou à ne pas lire, tel ou tel ouvrage. C’est la moindre des choses, non ? Vous seriez salariée d’un groupe de presse lui-même dépendant d’un groupe d’édition, vous devriez certainement avoir des lectures, voire des écritures obligatoires. Mais ce n’est pas le cas et vous faites, heureusement, ce que vous voulez.
Ceci étant, je ne suis pas certain « que le système est rodé, que le tamis fonctionne, qu’un bon texte jamais ne passe à la trappe – si tant est que son auteur se donne la peine de trouver l’éditeur, le seul peut-être (la maison, ou la personne) qui saura le considérer à sa juste valeur. » comme vous l’écrivez. D’abord, il faudrait que « l’auteur » connaisse l’ensemble des champs des possibles, ce qui est, admettons-le, compliqué. Le plus souvent, la rencontre d’un texte et d’un éditeur est le fruit du mariage de la ténacité et du hasard. Ensuite, les maisons d’éditions, grandes ou petites, sont submergées par les manuscrits reçus, elles ne les lisent plus, ou guère, même les petites, et, si vous regardez les chiffres de l’éditions, moins d’une trentaine de nouveaux auteurs sont publiés par an dans les maisons d’édition ayant un circuit de distribution (car nous pourrions aussi parler de la distribution du livre, ce sujet permettrait d’aborder les livres morts-nés que certains éditeurs « classiques » ne publient que pour avoir les droits sur la production de tel ou tel auteur, mais c’est un autre sujet).
Le « système » de l’édition qui prévaut aujourd’hui date du milieu du XIXème siècle, lorsque les auteurs, jusqu’alors très souvent auto-édités : Rimbaud, Verlaine, Diderot, Voltaire, Molière, Racine. Beaumarchais, Hugo… traitaient directement avec les imprimeurs – libraires souvenez-vous. Il est totalement obsolète aujourd’hui où l’écrivain n’est plus rentier (Gide, Flaubert, Proust… La liste est longue ;-) ). L’écriture, technique, narrative ou poétique, est devenu un métier. Traditionnellement, les auteurs étaient embauchés par les éditeurs (à-valoir, contrat de suite, voire « embauche » réelle comme directeur de collection ou lecteur). C’est cela qui évolue, me semble-t-il. L’économie de livre mute et, grâce notamment, à l’édition numérique, elle s’ouvre d’un côté à des auto-entrepreneurs, qui n’essayent même pas d’entrer dans le « monde » de l’édition traditionnel puisqu’ils le savent bouché, et elle ferme d’un autre côté des librairies, des imprimeries, voire des maisons d’édition.
En 2015, le marché de l’auto-édition était estimé à 52 Milliards de dollars, juste pour les États-Unis, soit un marché deux fois plus important que le marché traditionnel (source ActuaLitté). l’article poursuivait ainsi : « Cependant, devant la masse de manuscrits que les maisons d’éditions reçoivent, il y a forcément des ratés, des livres de grande qualité qu’il faudrait certainement publier. »
Alors l’auto-édition l’avenir du livre ou l’avenir de la littérature ? Beau sujet de dissertation.
Pour ma part, je suis trop vieux pour me lancer dans ces nouvelles aventures. Pour avoir été éditeur, je sais trop bien l’engagement nécessaire pour défendre un livre, que ce soit le sien ou celui d’un autre. Je préfère continuer à publier chez des « éditeurs », quelque soient les difficultés d’accès à « l’éditeur qui saura considérer (mon manuscrit) à sa juste valeur ». mais l’auto-édition n’est en rien une « poubelle » de l’édition traditionnelle. C’est juste un nouveau modèle où se distingueront, avec le temps, les bons des mauvais artisans.
Enfin, juste pour finir, il me souvient une enquête faite auprès des « grands » éditeurs où il ressortait que Proust ne serait pas publié aujourd’hui : Trop long.
Mais, là aussi de mémoire, je crois bien que le premier tome de la Recherche a été refusé par Gallimard et que Proust l’a publié à compte d’auteur… Oui. en fait, j’en suis sûr… comme quoi ;-)

PS : Désolé pour les fautes et autres coquilles mais ma correctrice est en vacances 8-)

(Ps : J'ai corrigé deux petites coquilles.)

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Pour commander les livres (4 romans) ou autres publications de LLB :

 contact mail auteur sur page accueil de ce blog

 

 

15 janvier 2016

Rien de tel que la création pour revivre, ou... survivre !

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Mes amis, fidèles, encourageants et empathiques,

Une bonne nouvelle :  reprise de mon 5ème roman....

Un an et une semaine (jour pour jour) après les premiers attentats de 2015, qui m'ont ébranlée au point de tout arrêter, ("à quoi bon tout ça" était devenu le leitmotiv qui embrumait mon cerveau), après un long délai de réflexion, de méditation, de récupération d'autres épreuves,... résolution est prise de reprendre les rênes de ma vie, et entre autres décisions, de reprendre l'écriture de mon 5ème roman, en chantier, depuis trop longtemps. Je ne promets pas de le finir. Je ne sais pas si je vais en être capable. Tant de circonstances et d'évènements influent sur ma capacité à gérer mes émotions, alors... nous verrons bien. Je ne m'impose aucun délai, aucun rythme. Je ne veux plus obéir qu'à mon plaisir, mon désir, mes envies. Je revendique la plus totale des libertés, celle du luxe de prendre le temps... Voilà, mes amis fidèles. Souhaitez-moi seulement d'être heureuse dans la création, quelle qu'elle soit.

ps : Depuis ce matin, 8 pages se sont ajoutées au 37 précédemment écrites en début d'année 2015... J'espère que tous ceux qui n'ont cessé de m'encourager seront contents de cette nouvelle. C'est un peu pour eux que je m'y remets... Et je les en remercie de tout mon cœur !

 

Ps : Titre de ce nouvel opus : "TROUBLE EMOI" ou "L'EVEIL DES SENS"ou "SI TU T'IMAGINES, FILLETTE"...

Merci de suivre les péripéties de ce nouveau manuscrit sur ma page Facebook : Liza LO BARTOLO  Romancière.

 

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ps : un débat en cours sur l'auto-édition

 Liza LO BARTOLO

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